Un éclairage connecté signifie qu’il est relié à internet et qu’il communique en temps réel son état de fonctionnement avec l’usine. De nombreux paramètres peuvent ainsi être contrôlés à distance.

• La température de la lampe et du driver (monitorés et régulés automatiquement)
• La consommation instantanée
• Réglage à distance de la puissance de l’éclairage (manuel ou automatique)
• Vues sur les voltages d’entrée et de sortie du réseau
• Nombre d’heures d’utilisation
• Allumage, extinction, diming à distance (en partie ou totalement)
• Contrôle de l’humidité intérieure

Le protocole de commande DALI (Digital Addressable Lighting Interface) a été développé dans les années 2000. Il est dédié à l’éclairage.

Contrairement au 0-10V, le signal DALI est un signal numérique, peu soumis aux perturbations et moins contraint par les longueurs de câbles. Il permet également une communication à double sens afin de récupérer l’état d’un driver par exemple.

Grâce à cette interface professionnelle de contrôle de l’éclairage, il est possible d’allumer, d’éteindre et d’ajuster la lumière, ainsi que de l’automatiser, ce qui vous permet de contrôler le flux lumineux ou la température de la couleur et de définir les différents scénarios d’éclairage pour chaque heure de la journée, en tirant le meilleur parti de la lumière naturelle. Avec le système DALI, vous pouvez inclure des capteurs de présence ou de luminosité, ce qui permet une installation plus efficace car la lumière émise par l’éclairage s’adapte aux conditions existantes de la pièce.

Ce protocole permet d’encoder individuellement les dispositifs de contrôle électronique en format numérique et de les affecter à plus d’un groupe en même temps. Il peut également stocker différents états et niveaux d’éclairage et dispose d’un système de rétroaction avec des messages individuels pour chaque composant afin de vérifier l’état du luminaire. Le système DALI peut être intégré aux systèmes domotiques, permettant de nombreuses solutions d’éclairage qui, en plus d’être facilement planifiées et installées, possèdent une fonctionnalité bien supérieure à celle des systèmes fondés sur les interfaces 1 à 10 V.

L’UGR ou taux d’éblouissement d’inconfort, (Unified Glare Rating en anglais), créé par la Commission internationale de l’éclairage (CIE) en 1995, quantifie l’éblouissement d’inconfort en éclairage d’intérieur, en fonction de la position de l’observateur et de la direction dans laquelle porte son regard.

La norme NF-EN 12464-1 sur l’éclairage des lieux de travail fixe un seuil UGR acceptable. Plus le taux d’éblouissement d’inconfort (valeur UGR) est important, plus la sensation d’éblouissement est importante (qualité moindre). La valeur UGR maximale recommandée varie en fonction de l’activité pratiquée.

Les valeurs UGR nominatives varient de 10 à 30, 16 équivalant à un éblouissement perceptible, et 28 à un éblouissement difficilement supportable. Les valeurs UGR de référence sont habituellement les suivantes : 16, 19, 22, 25 et 28.

Cet écart de 3 points entre chaque valeur de référence s’explique par le fait que la variation n’est pas perceptible à l’œil nu de manière unitaire.

Pour le sport la valeur recommandée est de 50, alors que dans un bureau on aura 16 ou 19 mensualité fixe et grâce à une facture d’électricité réduite, vous économiserez directement sur vos frais d’éclairages

(trouver qqn qui peut faire ce genre de dessin)

En usine chaque luminaire est testé en labo, et le spectre du luminaire (courbe photométrique) y est analysé. Dans une étude d’éclairage, la pièce où l’éclairage doit être installé; est dessinée en 3D. L’éclairage est choisi par le concepteur de l’étude afin d’obtenir un résultat optimal en terme de confort, de puissance et de répartition.

Aujourd’hui, la première source d’éclairage est la lumière naturelle, c’est la source la plus intense, la plus économique et la plus adaptée à nos besoins biologiques. 

Savez-vous que l’éclairage dans les bureaux, bâtiments industriels ou commerces est particulièrement traité dans la réglementation du travail ?

La réglementation exige un bon éclairage dans les locaux de travail. Une bonne luminosité contribue à une bonne sécurité et à une meilleure productivité.

Pour le sport cliquez ICI

Bâtiments industriels : entre 0,90et 1,3 watt/m2/100lux

Bureaux industriels : entre 1 et 1,5 watts/m2/100lux

Pour info si 1,5, cela peut être le résultat d’ un matériel de mauvaise photométrie (aveuglement et/ou mauvais rendement)

Attention aux normes (voir question “Quelles sont les normes d’éclairage pour les bureaux, industries et le sport ?”

Pour une analyse plus précise faites le test d’évaluation gratuit en cliquant ICI (aimant à client)

Revenez vers nous avec vos propositions, nous les intégrerons dans le FAQ après examen mettre adresse mail et/ou renvoyer à formulaire de contact)